« Où que tu sois. » (parce que ces derniers temps la poésie d’Edward Stachura à l’air de Vous plaire.)

Où que tu sois

Sort dehors

Va sur le champ

Entends l’appel

C’est moi qui appelle.

*

Où que tu sois

Je n’y suis pas

C’est le délire

Car tu n’es là

C’est le désert.

*

Où que tu sois                                                                                                                             

Tu n’y es pas non plus

C’est le délire

Car je n’y suis pas

C’est le désert.

*

Où que tu sois

Tu y es

Nous y sommes

Comme le silence,

Après ce chant

Comme deux pommes,

Sur un cerisier.

*

*

*

oui bon je n'ai jamais dis que ce serait logique.

pour moi il s'agit de la vocation.

et de multiples références bibliques y seraient

sous entendues, par ci, par là.

alors j'ai pensé intitulée cette traduction de "vocation" vu que le titre original de

"gdziekolwiek" polonais reste assez intraduisible en français... la vocation, dans

un sens très large,

s'entend bien sûr...

Comments

[E. Sledziewski]

Sympathique... mais c’est une énormité historique de comparer le « Gouvernement général de Pologne » sous administration nazie (avec Cracovie et non pas Varsovie pour capitale) à la France de Vichy, qui était bel et bien un « État français » dirigé par un maréchal français mettant son gouvernement et son administration au service de la collaboration avec l’occupant ! Il n’y avait plus d’Etat polonais depuis octobre 1939, l’ensemble des services étaient placés sous administration nazie. De l’administration polonaise d’avant-guerre seuls avaient été conservés les agents de la circulation.